A l’heure tu arriveras,
Tes chefs vénérés tu écouteras et regarderas,
A la maison, tes partitions parfaitement tu rangeras,
Et avec assiduité, tu travailleras et par cœur tes partitions tu
apprendras,
Le travail de chacun tu respecteras,
En chantant et en concert, point de commentaires ne feras,
Régulièrement tu viendras et ta bonne humeur amèneras,
Avec plaisir, tu chanteras,
Tes talents de pâtissier régulièrement tu exerceras.
Ainsi grâce à toi, Rosnarho Ma non Troppo
continuera à progresser
en apportant de la joie et du plaisir à tous.
Quelques images et détails techniques tirés du livre « l’Echo des Rizières » d’Anna Moï :
Le chant n’est pas seulement une histoire de voix, mais de souffle.
Pour la canalisation du son : imagine-toi sur une ligne de crête extrêmement escarpée .
Pour l’émission des notes les plus aigues :pense la note avant de la chanter.
Pour la résonance : élargis au maximum les parois de ton crâne ; envoie le son contre le palais dur,
là où tu peux tâter l’os avec le doigt : la voix résonne contre le dur .
Pour l’effet legato : enroule le son comme une bobine de fil, pour l’incurver .
Pour le pianissimo : réduis le son à un fil que tu passes par le trou d’une aiguille. (Il est difficile
de chanter pianissimo les sons aigus) .
Mettre le son « devant » : il faut que le son le plus infinitésimal produit parvienne à la personne
assise au dernier rang d’une salle de 3 000 personnes. Mais si le chanteur utilise sa force pour
pousser le souffle, le son s’écrase.
Et lorque nous chantons avec les autres, amis qui nous rejoignez chaque semaine,
nous fabriquons à la fois notre bonheur et celui des autres….
MJ de Trogoff